France
On estime qu'à la fin des années 1990, il y avait quelques dizaines de « fêtes libres » chaque week-end (de taille variable, pouvant rassembler entre plusieurs milliers de personnes et près d'une centaine voire moins dans le cadre d'une soirée plus privée).
Avant sa dissolution en 2005, le collectif des sounds systems[1] dénombrait plus d'une centaine de sound systems, c'est-à-dire des groupes possédant en commun un matériel de sonorisation destiné à être utilisé en free party.[2]
Plusieurs séries de lois sont venues encadrer les free parties et d'après les dernières d'entre elles, la fête doit être déclarée préalablement au préfet pour obtenir une autorisation et ne pas risquer la saisie du son.